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Florian MONDET

Supplique d'un spectateur impuissant

Tiens, voilà le vent qui se lève…
Il souffle fort dehors. Les arbres centenaires s’étirent mai

La pluie s’abat maintenant sur les toitures comme les balles
La plaine s’est métamorphosée. La lueur qui l’irradiait de m

A présent, le ciel se déchire sous les éclairs intermittents

Le chandelier est alors la seule source de clarté dans cette

Les gouttes de pluies achèvent leur course sur les carreaux,

L’averse ne dure pourtant qu’un temps. Le vent se calme, les

Le calme qui règne est pesant et rassurant à la fois. Comme

Ah. Il y a quelqu’un au loin. Ou plutôt quelqu’une. Elle mar

Espérons qu’elle vienne jusqu’ici…