Je ne pourrais jamais te dire ces mots Qui sont un hymne à l’amour Mais je les pense Et les vis D’abord dans le silence Puis dans la naissance De chaque aube qui se fait jour
Ma main ne caressera jamais ton visage Et nos âmes ne s’uniront point Il est bien là le drame et le présage D’un amour contraint
Contraint de bannir Toutes marques d’affection et de désir Toutes illusions et tous délires Ne reste alors pour avenir Que la douceur des souvenirs
Je n’oublierai jamais la vague de tendresse Qui métamorphose ton visage Lorsque tu prononces mon prénom Mon cœur alors est en liesse Et chante à plein poumon Un chant connu de lui seul Et dont les couplets Sont les rimes de ton nom
Je t’aime… … je t’aime L’écho se répète à l’infini Il a pour seul horizon Cette sublime mélodie Dont la beauté m’enchante Et me rend la vie