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Florence LECOURT

Pressentiment d'adieu.

Le pressentiment si distinct,
Combler le vide de parole inutile,
Pour ne pas laisser le temps « au adieu »
Les sanglots se font discret,
Mais restent tout de même présent.
Savoir à l'avance que la fin est là.
Vouloir l'éviter à tout prix.
La conversation est terminée,
C'est maintenant l'attente de l'écrit qui se fait.
Un temps qui dure, qui se fait interminable.
Est-ce la confirmation ?
Pleuré à grandes larmes,
Vouloir pratiquement s'étouffer.
A cette instant plus rien ne compte.
Mon cœur se brisa,
J'entendit pratiquement le son sourd qu'il provoqua.

Dehors le calme régné,
Jusqu'au moment où me pleure l'interromps
Face aux étoiles, j'était perdue.
Je ne répéter qu'une chose : Pourquoi ?
Comme-ci j'allais avoir la réponse !
J'essayé de penser à autre chose,
Mais en vain,
La douleur m'obsédé, m'oppressé le cœur.
Je crois que je n'ai jamais autant souffert.
Je souhaitais un miracle,
Je souhaitais qu'il me redise je t'aime.
Je souhaitais qu'il arrête mes larmes.
Je voulais .....
..... Juste lui redire à quel point je l'aime.
Un sentiment que je pensais éphémère,
Si tel était le cas :
Est-ce que je serais là, en train de pleurer ?
En train de supplier ciel et terre,
Pour que mon pressentiment soit faux.


Une soirée où mon cœur à été mis à l'épreuve,
Une soirée où je me croyais perdu a vie.
Jamais je ne l'avais vécu.
Et jamais je ne veux le revivre.
Mais tout se finit bien,
Mes vœux ont été réalisé,
Les larmes envolées.
Et mon cœur recollé.
Par un je t'aime de sa part.