Savez vous mon Amour les beaux soirs qui reviennent, Ceux là qui sont restés alors que vous passiez, Dans le mois de juillet ou pend – ils s’en souviennent - Votre baiser encor au milieu des brasiers.
C’est au long des remparts qu’au plus fort je vous rêve ; J’entends encor le vent comme on voit vos cheveux Mais la nuit me rejoint et de son brun enlève Votre image qui fit de mon cœur un heureux
Nulle tombe pour vous, nulle rose funèbre, J’invente et je dessine à chacun de mes soirs, Une folle peinture en mon âme célèbre : Votre lèvre mouillée à mes plus beaux espoirs.