La nuit avait drapé ses archanges célestes Comme de longs tableaux pleins de grâce et d’instinct, Où mon cœur attendri – des baisers en festin - Vous aimait Ô très chère, excusez moi les zestes.
Dans mon âme flambante allez donc voir les restes Quand les cieux eurent tôt sonner dans le matin, Trois coups à notre bouche ainsi qu’un mot latin : "Vôluptàs" , Ah que d’or dans les yeux et les gestes.
Et je sais Ô Chronos, sous tes ailes de fer, Resteront à jamais ces vents d’ Amour offert Tout rempli de parfum, d’ivresse et de poème.
A toi douce étrangère empreinte de Viatka ; Dans les temps infernaux, ma lèvre à son houka S’inventera toujours ton baiser doux bohême.