Tes yeux ont le cristal de la complexité, Comme les cieux parfois nous semblent insondables, Et ton rayonnement pris de lubricité, Où je m’en vais marchant comme au travers des sables.
Et je vois, parcourant, le miroir à tes maux, Que seul mon pinceau en superbe ondelette, Œuvre tout un tableau où sont comme des mots : Voluptâs ! Eurydice ! au parfait de la fête.
Nous voyageons ainsi comme dans un roman, Eclatant de l’azur – Amour élémentaire – Quand nous serons dans le désenchevêtrement De nos corps doux volant dans l’aube et le mystère.
Nous partirons encor, sois en sûre sans pleur, Le galbe de ta hanche à mon cœur est hélice, Tournant, tournant toujours vers des cieux dont l’ampleur Accordent des frissons à l’icône complice.