Vous vouliez des Adieux, vous les vouliez en vers, Tous écrits du Regret, du Temps et de la Rose, Pourtant vous le savez, il est triste et morose D’enluminer le pleur aux effluves pervers.
Vers des parfums nouveaux, vers des cieux ouverts, Je vous laisse ces mots que mon chagrin arrose, Lisez le attentive à la phrase qui rose, Comme une fleur en deuil renaissant à l’envers.
Car il est dans l’Adieu d’improbables orgies, Où l’amour fatigué releve ses bougies, A gicler de Lumière et d’ivresse et de pains.
Nous sommes voyez-vous à la sombre équinoxe, C’est là que je vous aime et là que je vous peins, Laissez vous offrir mon plus beau paradoxe.