Anciennement j'effleurais son corps Enlacée dans ses bras, En embrassant ses lèvres. En balbutiant "je t'aime".
J'ai apprécié l'homme qu'il était. Je l'ai connu par cœur, du velouté de sa peau A l'étoile dans ses yeux. Comme s'il faisait encore partie de moi, mais il a changé.
On s'est surement connus trop prématurément. Le monde entier connaît cette histoire charmante. Il a percé mon cœur d'une flèche, La foudre a déchiré ma peau,
Ses baisers laissent leurs goût sucré Il a marqué tout mon corps de ses gestes, Tous ces souvenirs me font plus mal que de bien. Enlacée dans ses bras.
Avant la venue de l'indifférence, Même s'il est trop tard pour s'en apercevoir : Il m'a offert de ses mains un bonheur singulier, Sans avoir de retour.
Cette passion était vraie, J'ai eu du mal à l'accepter. Les souvenirs restent ancrés, dans ma poitrine, Même si elle s'étouffe d'haine à son égard calamine.
