Aucune mort n’est jamais belle Mais des trépas sont plus qu’affreux Lors la raison devient rebelle La profondeur au sens de creux Fait de la vie une poubelle…
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« Mourir debout couvert de sang Mourir couché couvert de pisse » Pour le guerrier l’avilissant Le pire choix serait l’hospice Cela serait même indécent…
Pour le marin c’est identique -C’est Tabarly sur son voilier- Mourir en mer devient mythique L’avant l’après tout est lié Dans un regard clair synoptique…
Chacun son trip c’est évident Mais qu’en est-il pour le poète Connaîtrait-il un rêve ardent Genre le mec qui se la pète Mourir connu c’est transcendant…
Et si son rêve était d’écrire Et de mourir plume à la main Avec les mots pouvant décrire Chaque couleur du beau jasmin Bouquet d’amour qu’il faut élire…
Moi j’aimerais tout simplement Qu’en écrivant mon cœur s’arrête Sur deux trois vers qui gentiment D’une façon très très concrète Chantent l’amour sincèrement…
