A l’ombre de la Femme Icare se consume Au feu de son hier de l’amour disparu Il offre une prière à Atlantide à Mu A genoux il déclame à toutes qu’il assume…
Perdu dans la forêt tronc entouré de bras Il va de liane en liane il aime leurs caresses En esquivant Diane et les autres déesses Chasseuses à l’arrêt flèches pour des ‘Hourras !’
Car en plein dans le mille au cœur de sa chimère Le flux et le reflux d’un sourire éternel Les oui et les refus signaux dans son tunnel Assassinent l’idylle idéal éphémère…