Une crainte m’envahi ! Celle de sombrer dans la facile voie de la mélancolie Oublier mon entourage mes être si chers Mais vois-tu quand tu es parti plus rien n’avait d’importanc Du regard nous avons suivi ton sillage Comme celui d’un bateau qui vogue vers l’horizon Pareil à une image Un peu floue qui ne semble jamais disparaître « Disparaître, partir mourir « Les terrible mots qui déchirent l’être C’est la vie à l’envers Elle donne ou emporte à son gré J’en veux au monde entier Il faut se révolter N’y a t il pas la force d’aimer Qui peut ressusciter L’âme le cœur et l’esprit de l’être cher Jusqu’ à la réalité de la chair Je veux découvrir entre les larmes et les sanglots Une autre victoire de la vie sur la mort De la présence sur l’absence.