Comme un vulgaire voleur, j’ai été séquestré Pressé dans des tonneaux, mon destin fut gâché. Mon âme fut poignardé, mon coeur déraciné Adieu ma bien-aimée, ma raison d’exister.
Je m’étais engagé, rien devait paraître Masqué mes sentiments, parodier un sourire Tâche insupportable, je dus reconnaître J’éclatai en sanglots, comment se retenir.
Chaque instant séparé, distant de ma patrie Dans ces derniers moments, j’eus tant de choses à dire. Yeux ruisselants rougis, au revoir mes amis Que de bons souvenirs, nul ne pourra détruire.