Dans la solitude des ténébre, Agenouillé tu quémandais, Sur ton panneaux il avais des lettres , Que la chaleur tu cherchais.
Tu vivais son un petit carton , Les jours de pluies s'était un abri, Tu mettais le feu à un bidon, Pour te rechauffer s'étais ta vie.
Tu es étais jeune et jaloux de nous, On avais réussis notre vie, Toi tu étais un pauvre garçon sans sous , Tu es mort dans le froid sans amis, Sans que personnnes ne préte attention à toi.