Tantôt, la vie se libérait de moi Maintenant, pour se faire disculper M'a donné comme présent, toi Et, crois le ou non, je t'ai accepté
Ta voix se promène avec celle de ma guitare Jusqu'à mon ouïe qui se fait douce Tes mains glissent le long de mon corps, jusqu'à très tard Rien que pour l’effet d'être dans un bain de mousse
Oh Pierre! Ne me laisse pas Avec ces déments qui veulent ma peau Je ne tiendrai point le coup sans toi Si tu pars, ma vie tombe en lambeaux...