Toutes les sept demoiselles A qui la peur donna des ailes Qui la nuit brillent au firmament Avec l’éclat du diamant
Filles d’Atlas et de Pléïone d’essence divine Maïa était l’aînée Mérope la benjamine Sept sœurs unis comme les notes sur la portée Qui comblent de bonheur celle qui les a porté Ainsi que brillent au cœur du lys les étamines
Sept étoiles brillantes par les hommes convoités Que l’amour aiguillonne dont le cœur bat à rompre Prompts à tirer l’épée et même à se corrompre Pour s’offrir la beauté quand elle passe à portée