L’enfant prodige dont la vie fut l’objet d’un script Celui qui ceint la couronne de laurier au cirque C’est Moïse qui entraîna son peuple hors d’Egypte Où Pharaon le maintenait à faire des briques
Mais le premier de tous l’étincelant aurige L’as des as celui qui mène son char hors des flots Tiré par quatre chevaux blancs au grand galop Celui dont on guette la venue sur son quadrige
C’est le soleil qui apporte la lumière au monde
Et les quatre cavaliers de l’apocalypse La conquête la guerre la famine et la mort Couchés sur leurs chevaux auxquels ils lâchent les mors Ne font guère que passer que le temps d’une éclipse