Quand même il se retire dans un lieu solitaire Qu’il soit gardien de phare tout au bout de la terre Ou se tourne vers dieu se fasse moine ou abbé Au vertige de l’amour il lui faut succomber
Devant ce précipice l’oiseau déploie ses ailes Pour franchir cet à pic qui mène jusqu’au ciel Pour éviter la chute qui peut être mortelle L’homme compose des vers qui lui donnent des ailes