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Al ROCHELEAU

La Maison de Moi

Cette demeure de moi, vient aux briques,
Un portique, éclats se ramasser, malheurs lourds,
L’escalier posée les tapis de l’ésperance
Couches des bêtises et l’intrigue, lucarnes compliquées
Sont braqué au ciel, au secours du faucon triste
(la charogne vue ou bientôt d’être), les fenêtres
Clair de la naissance, calamité
Et fermé pour telles tempêtes ce qui peuvent voir,
Touché, senti comme mousseline ou toile
Sur un arbre du hamac, separé du monde
Par pierres glaciaires extérieurs, runes nordiques,
épitaphes indiennes, carillon sous le vent
Menant à porte ouvrie, une vie parfois
Une chambre des pieds essuyés, avec portraits.

Dans une aile, une crèche vidée des importances,
Les larmes de pneumonie, l’éloquence meutrie
De l’arrivée tardée, entravée sur une mere,
La tendresse de la soeur qui peint l’enfant
Une fille tzigane pour le premier Hallowe’en
Et un chambre avec barres pour sommeil roulant
Pour arrêter le monstre au dessous—
Les paquets, paquets des soldats combatent les guerres
Sur un plancher de silence, frappé avec pointes
Ajouté aux questions tamponné d’alcool,
Les dagues de la glace en la folie fondue
Suée au chahut atroce des nuits de vendredi,
Les uns plus vieux fuiant à leurs phares,
La lustre balançant comme un gibet.

Je grandi dans elle, les ajouts étaient surprenants;
Le conservatoire rempli avec les modes et gammes
Lydiennes, le rock et les ragas, le blues, Basie,
Au sous-sol je voudrais absorber Thomas Wolfe
Et monter mon séjour sur la route des fous,
Je m’ai enroulé la route pour revenir
Comme le courrier non ouvert, au lit sans des roses,
La matrice veillis des maux, les marguerites sculptées.
Le numéro de boîte aux lettres sur la route la moins,
Vous attend pour escorter sur ma course de la chance
Dans ce domaine, la maîtresse de lui et de moi,
La pommade dans un bain merveilleux du salut,
La beauté rayonnante qui expose sa grâce tranquille,
La peine d’un visage tuméfié, en quittant.

Les années d’enfants sculpter dans marbre le plus doux—
Le relief est partout, les reflets sur les balustrades,
La chanson dans le jardin des asters, symétrie de l’ardoise,
Les tours de pour toujours dans notre rêverie,
Les années de réaménager, moulé à partir de l’image
A un manoir actuel, en vie ce bâtiment respirant,
Cette génération assuré de ses corrections,
La chute de plaques de plâtre qui libère tous enterrés
Vivants à aimer, dormir parmi les cuivres et les fleurs,
Dans la chambre de nos aubes, des décennies délivrant,
Les jours patriciennes et délibérées, libéré comme des soupi
Dans les écrans d’une véranda d'été, la cadence
De permanance tout sauf assurée— puis, le percepteur.

L’addresse pour tenir compte des couloirs tristes