Lentement, lancinant ; eh Louise ! Cette valse Attaque, justement. Tout en nous, le sang pulse. Comment y résister ? Comment ne pas danser ? Allez mon aimée viens, laissons-la nous mener !
Lentement, lancinant ; et notre duo nu Continue puissamment. Notre union devient forte. Le mouvement acquis, les yeux ne bougent plus. Et battons nous au lit, et qu'elle nous emporte !
Lentement, lancinant ; et qu'elle nous élève Au haut des firmaments. Qu'en nous elle pénètre. Qu'elle nous recouvre et fusionne nos deux êtres. Dans cette adversité, nos armes sont nos rêves.
Lentement, lancinant ; épuisés des efforts Nos deux corps se font lents. La musique se meurt. Nous gagnons en douceur et maintenant tout dort. La valse du bonheur, elle chante en nos cœurs.