Le long du vieux Pento Vecchio Francesca la si Belle brune Me modula un tendre Adagio Et Sur l'Arno se joua la lune
De sa fine main, archet de Vivaldi Elle m’offrit le Lys Florentin Et d’une voix où le soprano psalmodie Me dit : d’où viens-tu luthier clandestin ?
-Je viens des rives rêveuses du bleu Nil Semer en ce riche courtil le Tango Oriental* La Sicile, pays de mes aïeux aux noirs cils Parfume Florence de son Pastel Pastoral
Dans mon cœur chantentl’Enéide , Les pieux Canzonis de Pétrarque à Laure Et dans tes doux yeux,florentine Néréide L’amour fleurit,divine et rose aurore