Si vous la connaissez, portez-lui cette épître. Dites-lui que celui dont elle a pris le nom Mais aussi tous les biens, la surnommait the bitch, Quand pour le pour le taquiner, j'évoquais ses fredaines. Certes, il n'avait pas tort mais ne put soupçonner Jusqu'où irait la garce le jour de son décès.
Son père, un commerçant prospère et généreux, Était juif polonais mais sa mère chrétienne. Baptisée en secret et se croyant bâtarde, Elle adopta le nom d'un amant de sa mère. Il l'avait reconnue, déclarée par erreur. Deux actes de naissance, l'un d'un père adultère.
Parler au nom d'un mort est ténébreuse affaire. J'en suis sortie aigrie ne pouvant renoncer À couvrir de mépris avocat et notaire, Complices acharnés d'une affreuse imposture. Ils savaient qu'ils seraient protégés par leurs pairs. J'aurais dû dénoncer aussi le juge unique.
Si vous vous adressez à moi, je vous dirai Comment tous ses délits sont restés impunis. Le jeu doit prendre fin quand les dés sont pipés. Mais il est un devoir parfois de condamner. Sur son site, en anglais, dont vous avez la clé, Laissez-lui ce message! Mais parlez-vous français ?
