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Pochat ROMAIN

Le misanthrope...


Ma mie! Mon aimée! Ma demie tranche!
Je reste navré d’avoir confondu mes sens,
J’ai contemplé la pluie de par ma fenêtre,
Et je ne pus retrouver les lamelles du soleil,
Vois-tu les nuancées de la nuit m’ont appelé,
Et je ne pus me remettre à méditer les journées,
Les périples silencieux ont redoré mes soupires,
L’absurdité serait alors de revenir à discourir.


S’il gît un optimiste en mon âme,
C’est cette conviction inébranlable;
Aimer semble aveuglément cruel,
On finit toujours par détester l‘envers…


Ma mie! Mon aimée! Ma demie tranche!
Je reste navré d’avoir confondu mes sens,
J’ai étudier l’oiseau dans son bungalow,
J’ai abominé l’homme qui la mis au cachot,
En tenant la main aux illuminés dénaturés,
J’ai haï copieux le dédain de mon espèce,
On m’a averti de conserver la patience sur le fil,
Mais j’ai vite délié les poignets pour l’exil…


S’il gît un optimiste en mon âme,
C’est cette conviction inébranlable;
Aimer semble aveuglément cruel,
On finit toujours par détester l‘envers…


Ma mie! Mon aimée! Ma demie tranche!
Je reste navré d’avoir confondu mes sens,
A force naïve d’endurer obéissance et effluve,
J’ai aimer l’être solitaire qui m’incube,
Je suis devenu dès la première goutte d’eau,
Un amoureux transi pour seul contact son ombre,
Misanthrope ainsi sois mon âme probe,
Un imperméable à toute initiative d‘approche…


S’il gît un optimiste en mon âme,
C’est cette conviction inébranlable;
Aimer semble aveuglément cruel,
On finit toujours par détester l‘envers…