Au grand rêve de la BD
Au grand rêve de la BD, persos trop pensés :
Eclat du grand vert, au sol si proche de ses pieds,
Le temps passe à la lumière de l’éclaire rouge,
De la même couleur, deux sabres, un masque qui se bouge.
Dans l’aire au choix : répulseurs de l’homme de métal;
Ou rouge de cap, bleu de sang, décape Superman.
Au loin, le Dark night, Bien caché dans la pénombre,
Descend du ciel, la Lanterns illumine son ombre.
Menace identifié, grand colosse édifié,
Nommée Carnage, grandes capacités révélées.
Dès couleurs du kriptonien, l’araignée dévale.
L’utopien américain, bouclier en main,
Prenant de ses 70 ans, au bon moment.
Jaune et bleue, le X d’Adamantium, griffes aux doigts,
La foudre que voilà, mjolnir, asgardien lambda;
Inhumains vibrants, le mutant régénérant,
Gardiens, symbiotes, blason pas très cohérents.
Présences du limier martien, joker, Harley Quinn,
King Shark, killer croc, des vengeurs jusqu’au man-thing,
Tellement bien, tellement de gens, d’être imaginés ;
L’heure du combat épique à sonner, arme en main,
Marteau, bouclier, épées…, forces et haine aux poings.
Premier: forces pures, main verte, choque de haine tonique.
Second: retour, vitesse de l’éclaire, onde sonique.
Suivi: sabres, et griffes: mutants génétiques.
Puis, équipes: ligue, S.H.I.E.L.D.S, ou bien plus maléfique.
Finalement l’imaginé: rêves envolés,
Reformés, métamorphosés: pensées prouvées.
Créations vivantes, enfants de notre esprit.
Les limites non trouvés, l’art peut donner la vie.
