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Loulidi FAEDI

Ma société

Des jours et des nuits ce sont écoulés
La lune ; le soleil s’opposaient
Un ciel où des nuages voyageaient
La lumière ; l’obscurité s’imposaient
Restant au fond dans cette beauté naturelle
Voulant y passe une vie éternel
Dans mes penses réellement je me trouvais
Un monde que j’avais tant désire
Cette nature que j’avais tant aime
Vivre en paix et dans la loyauté
Vivre en liberté comme ces ruisseaux qui coulent
Béni au sein d’un océan ; ils se retrouvent
Partageant entre eux le bonheur
Partageant entre eux le malheur
Restant réuni des heures et ; des heures !
Ce tapi bleu leurs portent une vague de bonheur
Un printemps ou le soleil rayonne
Où le vent ni chaud ni froid tourbillonne
Où ces oiseaux sortaient exprimer
Leur joie en vers ce monde que dieu a crée

Où des fleurs s’ouvrent et qui sortent en toute liberté
Exposant leur flamboyante beauté
Dans cette ile en toute sécurité
Des arbres tout au long de cette saison
Qui discutent ; s’expriment ; chantent et dansent
Grâce au vent ; le compagnon de leur naissance
Étant un refuge pour ces oiseaux
Dans le froid comme dans le chaud
Qui voyageaient selon les saisons
Selon leur natures ; mais ils ont une seul et unique maison
Regardez ce ciel tellement infini
C’est un lieu qui les unit
Ainsi dans leurs voyages ils sont tous réunis
Voilà que l’hiver nous est apparu
Avec son froid nous est revenu
Où la mer devient tourmenter
Où les nuages commencent à pleurer
Où des arbres perdent leurs feuilles
Ils pensent qu’aux cercueils
Des oiseaux n’ayant aucun ou se réfugier
Ils resteront toujours accrocher
Aux immense branche ou ils vivaient
Depuis leurs naissance jusqu'à ce qu’ils puissent voler
Des tiges vertes regardent la mort devant leurs yeux
Un torrent de pluie envahi tous les cieux
Laissant ces arbres accroches à l’espoir
De continuer leurs vies qui auraient pu y croire
Attendre impatiemment le retour flamboyant
De ce soleil brûlant tellement émouvant
Qui laisseras ces arbres renaître
Et leurs feuilles deviendront lumineuses
Partageant du bonheur entre tous les autres êtres
Un bonheur ; une liberté ; une joie si contagieuse
Regardez cette nature que j’avais tant aimé
Où ces éléments les uns et les autres ce compléter
Ainsi que J’ai pu la qualifier
D’une société que j’avais tant désirée