Mon coeur, Promis je vais te ménager, Terminé les nuits dépravées, Au vapeur d'alcool, de fumée, Mon coeur, Qui s'émeut pour les besogneux, À faire ruisseler dans mes yeux, Un torrent de larme de Dieu,
Mon coeur, Lors de mon voyage éternel, Tu te blottiras sous mon aile, Pour l'autre rive qu'on dit si belle, Mon coeur, Mais nous sommes qu'à mi-chemin, Ne restons pas sur notre faim, La vie promet de beau matin,
Mon coeur, On a en commun ce véniel, Et doux pêché, les jolies femmes, Tu peux encore t'amouracher, Mon coeur, Retrouve alors le goût du miel, En ranimant l'intense flamme, Que jadis tu jaillissais...