L'aube s'est levée sur ma vie, Mais les journées en restent taciturnes, Un léger voile diurne Recouvre ma douce léthargie. Le crépuscule devient obscur, Et je n'en devine plus l'azur... Je suis la proie des spectres, Qui tourmentent mes lettres. Je suis le martyre des sanglots, Qui hantent mes mots.