Je marchais au hasard, - Au hasard, Balthazar -, Parvenant au bazar, Où jouait un musard, Qui massacrait Mozart, Avec son seul nasard, Ce cornet pour gueusards. Ce drôle à l’air bizarre Jouait pour des houzards, Traquant des camisards. Ainsi ces balbuzards Pouvaient aimer les arts, Même près d’un puisard, Collectant des bousards, A réveiller Lazare. N’étant pas Sannazar, Je laissais ces busards, Fuyant tel un lézard, Privé de rime en zar.