Son coeur s'est rempli De pétales fanés De fleurs inconnues Qui embaument l'été Mais à l'automne puent
Il avise la tour Carrée au bout du pont Qui fait porte de ville
Sous la grande arche sombre A cette heure tardive Il songe à se cacher A se faire oublier Tapi tout contre le mur Puis y mourir tranquille A l'abri du regard Des passants trop pressés