Tandis que tournent Très lentement Les ailes blanches Du moulin Triste et pensive Tu te demandes pourquoi Naguère Le meunier jamais à ton père Ne demanda ta main
Dans le ciel bleu Des oiseaux de proie Tournoient au dessus des champs Et guettent le moment Propice pour te crever les yeux
Le vieux meunier qui Dit-on ne voit plus guère Tapi dans l'ombre Attend