La façade était blanche La moindre souillure Rompait sa perfection Un cri tombé du ciel Des larmes brûlantes D’un nuage attristé Une fiente inattendue D’un oiseau de passage S’ajoutaient aux Insultes du temps Aux injures subies Par tous les bâtiments Noirceur des fumées Taches et fêlures Chant zigzagant Des moindres fêlures
Pareille à notre âme Une façade N’est jamais blanche Que jusqu’à ses Premiers tourments