La mort est là Son ombre glisse à contre-jour Entre le voile des heures Troublantes du matin Et la fenêtre close La veille au soir A l’heure où les corps Et les cœurs se reposent
Au dessus de la porte Ouverte sur la brume Des mondes inconnus La bouche difforme D’un visage à la fois Grotesque et monstrueux Parle à mon cœur Désespéré L’enjoignant de sortir De quitter les lieux Puis dans l’éclatement Tonitruant d’un rire Le retient prisonnier