Ô combien, Convulsions de l'histoire que rajoute trouble mémoire solitaires dans un monde délétère ils s'en allerent Avec ces matins blêmes pour seul emblème Sans nom et de mille tourments ô combien En haillons de poussière et halos de lumière Dans ces marches funèbres au plus profond des ténèbres Que consume de npirs solei A ces soirs sans pareil , écume De noirs soleils, qui consume Sans bruit la nuit Sur les quais de l'oubli S'enfuit Des brumes de suie. A ces soirs sans pareil , écume De noirs soleils, qui consumee ces noirs soleils, que con Sans bruit la nuit Sur les quais de l'oubli S'enfuit Des brumes de suie.
Sans bruit la nuit Sur les quais de l'oubli S'enfuit Des brumes de suie. Avec ces matins blêmes pour seul emblème Dont nul écho soudain ou lointain Ô combien A ces soirs sans p
Ô combien, d'hommes ordinaires en monstres fiers Courroux d'enfer debout sur terre Aux bras vengeurs de tant d'horreurs à la gloire d'un faux dieu du plus noir des cieux aux cruels desseins nul disgrâce des siens Ô combien
ô combien Au matin de leur vie que le ciel a ravi Tout un peuple meurtri dans sa chair flétrie Du fracas des armes Que l'écho du chaos et le sanglot de ces mots. Ô combien Aubes pâles glacées infernal râle figé Sarabandes sans fin d'immondes assassins sur des ombres décharnées Et dans ce ciel calciné l'ogre cheminait jamais rassasié par le nombre de brasiers ô combien,tombent sans fin Larmes de cendres incandescentes ,quand court Dans l'abîme voile lourd Le sublime des étoiles jaunes du jour.