Ô Cathédrale de Tulle joyau de pierre, Ta flèche majestueuse se dresse fièrement, Dans cette ville livrée aux mécréants, Aux ineptes et aux politiciens austères.
Réveille toi ville sans artifice, Chasse ces misérables marchands du temple, Que ton carillon résonne alors prestement, Et nous annonce des temps propices
Dans le vacarme des joyeuses clameurs, Le peuple électeur se libère de ses entraves, La France éternelle est de retour, La Corrèze est libre pour toujours....
