Vous futes ma première et vous serez tombeau A mon âme, mon cœur, mon œuvre toute entière, L’éternel existant même en un cimetière, Où toujours votre image éteindra le corbeau.
Ce n’est pas la gerçure et ce n’est pas le temps Qui tue, oh! non c’est la mémoire épuisée et fragile Qui s’effondre sans bruit dans la vieillesse agile A détruire les soirs aux parfums haletants.