La très chère à mon cœur se nommait Héloïse, La courbe de son corps en tableaux éclatants Dans mon crâne sculpté de ses yeux de printemps, Douces lèvres en fleur et chevelure exquise.
La courbe de son corps en tableaux éclatants Mon baiser promenait à sa bouche cerise, Douces lèvres en fleur et chevelure exquise, Doux, je la contemplais dans les eaux des étangs.
Mon baiser promenait à sa bouche cerise, Quelques rêve d’enfant et la rose d’un temps Doux, je la contemplais dans les eaux des étangs Comme on fixe souvent l’aube rouge qui frise.
Quelques rêve d’enfant et la rose d’un temps Je vous regarde encore au plus bleu de ma crise Comme on fixe souvent l’aube rouge qui frise ; Douce brune, lumière aux longs charmes latents.
Je vous regarde encore au plus bleu de ma crise, Vous la fleur, vous le vent, vous l’hiver et longtemps Douce brune, lumière aux longs charmes latents, La très cher à mon cœur se nommait en marquise.
Vous la fleur, vous le vent, vous l’hiver et longtemps, La très chère à mon cœur se nommait Héloïse, La très chère à mon cœur se nommait en marquise Dans mon crâne sculpté de ses yeux de printemps,