Campé sous les rayons d’un doux printemps, Un parfum de bonheur flottait dans l’air Sur la froide rivière où pêchait mon père, Et Le temps charmait en prenant son temps.
Comme d’habitude il était patient Dans son activité en solitaire Campé sous les rayons d’un doux printemps, Un parfum de bonheur flottait dans l’air.
Et dans ce belle endroit au flot frissonnant Il bondissait vite de pierre en pierre, Du rivage inondé à la dernière, Habille il le faisait, souvent d’antan Campé sous les rayons d’un doux printemps.