Dans les saisons gouvernementales En solide vertu, la valse d’intelligence Se zèle avec ardeur, sans grande vigilance A haranguer les foules, en chemin de cabale.
Les têtes des partis prêtent à se faire un nom Se prennent dans les filets des flottes de louanges En bons flatteurs en dorment au son de leurs échanges Les badauds sans esprits, aux titres de sermons.
Les âmes sans conscience, toutes juste éblouies Par une belle fumée d’idées, d’encensoir outrage Ne voient pas leur héros dans son spectacle naufrage Ils ont le sang chaud et les yeux qui pétillent.
Et les pipeaux rustiques comme des imposteurs Craignent de se montrer sous leur propre figure Sous un air innocent bégayent leur investiture Le faux leur est si fade, qu’ils miment le bonheur.
Dans les saisons gouvernementales En solide vertu, la valse d’intelligence Se zèle avec ardeur, sans grande vigilance A haranguer les foules, en chemin de cabale.
Les têtes des partis prêtent à se faire un nom Se prennent dans les filets des flottes de louanges En bons flatteurs en dorment au son de leurs échanges Les badauds sans esprits, aux titres de sermons.
Les âmes sans conscience, toutes juste éblouies Par une belle fumée d’idées, d’encensoir outrage Ne voient pas leur héros dans son spectacle naufrage Ils ont le sang chaud et les yeux qui pétillent.
Et les pipeaux rustiques comme des imposteurs Craignent de se montrer sous leur propre figure Sous un air innocent bégayent leur investiture Le faux leur est si fade, qu’ils miment le bonheur.