Le vieux bonhomme hiver qui changeait tout en glace Éteignait les murmures dans ses serres de rapace Sous sa rigide armure solide carapace Cachait un cœur de neige un cœur remplit de grâce
Depuis qu’une princesse nouvelle cendrillon S’est épris du bonhomme au cœur comme un oignon Son sang s’écoule sur la terre à gros bouillons Faites sonner les cloches tinter les carillons Le printemps va renaître du feu de ses rayons