Sept marches seulement, il te faudra gravir Le jour où pèsera le poids de mon absence Quand tu ressentiras ta vie sans importance Et que tu n’auras plus qu’un seul vœu : en finir !
Lorsque tu n’auras plus la force de m’attendre Et que feindre et mentir t’auront anéanti Avant que le néant ne drape ton esprit Viens ! Nous raviverons l’amour tombé en cendre
Je t’ai fait le serment et tiendrais ma promesse Celle de t’accueillir après ton repentir Quand tu seras tout seul sans espoir d’avenir
Je serais sur le seuil sans ruse vengeresse Aux affres du passé, deviendrais amnésique Si comme Salomon tu me chante un cantique