Ton ombre se profile Sur le mur des absences On dirait qu’elle avance Légère et fragile Sans voir où ses pas La mènent au gré du temps
Les heures s’écoulent Au coeur de nos attentes Et toujours en éveil Nos sens aguerris Se mettent à l’abri D’un drap qui sert de tente Et que soulèvera Le premier coup de vent