L'amour est une chansonnette à la douloureuse réalité
Vous étiez jeunes, étant fou, Vos portraits sacrilèges souillaient les murs doux De la terrible maisonnée. Vous brisiez de vos ongles La si belle puissance amenant à l'horreur Le souffle des damnés. Et silencieusement Dans un terrible effort, Ecrasant à vos pieds la pudeur de nos filles, Vous devoriez leur coeur et nous les rendiez viles Oh n'avez-vous pas honte Patentés de l'horreur, De la colère qui monte De celles qui furent nos soeurs?!